Vous trouverez ici toutes les infos utiles pour votre activité. Ordonnances type, prescriptions possibles, formulaires en tout genre. Si quelquechose venait à vous manquer, n’hésitez surtout pas à utiliser notre formulaire contact pour nous le demander. Nous nous ferons un plaisir de l’enrichir selon vos besoins
Diabétologie : Prise en charge des bandelettes d’autosurveillance glycémique
De nouvelles dispositions réglementaires modifient la prise en charge des bandelettes utilisées pour l’autosurveillance glycémique : elles sont désormais remboursées à hauteur de 200 bandelettes par an pour les patients atteints d’un diabète de type 2, non traités par insuline.
Formulaire de prescription de perfusion (ville et hôpital)
Ce modèle d‘ordonnance émane de la CNAMTS. Il n’est pas un support de prescription obligatoire, mais vous permettra d’émettre des ordonnances plus précises, en vue de nous faciliter la délivrance et la facturation :
Préparations magistrales : Les nouvelles règles de prise en charge
Pour être prises en charge par l’Assurance Maladie, les préparations magistrales et officinales doivent être conformes à la définition du code de la santé publique et répondre aux quatre critères de prise en charge.
Tous les détails sur la page dédiée en cliquant ici
Sevrage Tabagique : prescription des substituts nicotiniques
L’Assurance Maladie accompagne l’arrêt du tabac. Elle rembourse, sur prescription, les traitements par substituts nicotiniques (patch, gomme, pastille, inhaleur…). Les officines peuvent désormais pratiquer la dispense d’avance de frais pour ces produits.
Quelles sont les conditions du remboursement ?
Pour être remboursés par l’Assurance Maladie, ces substituts nicotiniques doivent figurer sur la liste des substituts nicotiniques pris en charge.
Enfin, il n’est plus nécessaire que ces traitements figurent sur une ordonnance dédiée comme auparavant.
Qui peut prescrire les substituts nicotiniques ?
La loi du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé (loi 2016-41 publiée au Journal officiel du 27 janvier 2016) autorise, en plus des médecins et des sages-femmes, les médecins du travail, les chirurgiens-dentistes, les infirmiers et les masseurs kinésithérapeutes à prescrire les substituts nicotiniques.